De Melbourne à Sydney

Alors qu’avons-nous glané comme nouvelles merveilles depuis notre départ de Melbourne ?

 

Au gré de notre voyage le long de la côte de Melbourne à Sydney, nous avons fait 7 arrêts différents pour la nuit et pas mal d’autres dans la journée.

 

A Walhalla, nous avons vu des paillettes d’or dans la rivière, du « faux or » d’après l’homme d’origine hongroise qui, campant là un mois avec sa famille, accueille les nouveaux venus dans ce site sauvage, au cœur d’une belle forêt d’eucalyptus toujours mais aussi de différents pins.

 

A Seaspray, nous avons connu les joies de la baignade dans les rouleaux, sur la fameuse plage Ninety mile Beach, avec son sable blanc qui s’étend à perte de vue.
Nous avons aussi croisé pas mal d’animaux sauvages (kangourous, échidnés – sorte de hérisson-,…) lors de notre balade sur la presqu’île.

Nous avons fêté l’anniversaire d’Arc’hantael dans le restau-bar dont la terrasse surplombe la plage, ...Arc’hantael a soufflé ses bougies de 11 ans sur un joli dessert glacé gentiment offert par le cuisinier, amoureux de Paris,

... nous avons assisté à un concert rock et au premier concert d’une fille d’environ 12 ans, qui interprétait avec talent les tubes internationaux du moment,

...un feu d'artifice sur la plage a parachevé cette belle soirée;

...et nos voisins de tente ont reconnu dans Laurent le coureur cycliste Laurent Jalabert (ses mollets musclés sans doute !)

 

A Buchan, nous avons été accueillis par des mamans kangourous avec leur bébé dans la poche, qui regardaient avec intérêt, sinon envie, les campeurs s’ébrouant dans une piscine dont l’eau provient de la rivière souterraine (12°C ! et oui, je m’y suis baignée. Mais il faisait 45°C dehors…). Nous nous sommes rafraîchis dans les grottes où les stalagtites et stalagmites dessinent des mondes féériques.

 

A Narooma nous avons compris pourquoi les Australiens s’entassent dans le camping qui longe la mer et offre une jolie vue sur l’île Montague et sur les pélicans qui peuplent ces eaux sablonneuses.

 

A Huskinson, nous avons raté les phoques et autres grosses bébêtes que l’on peut voir semble-t-il là où les pêcheurs préparent les poissons qu’ils ont rapportés. Par contre, nous avons goûté un délicieux poisson local (King Fish) cuisiné par nos voisins et accompagné d’un très bon vin.

 

A Jervis Bay, nous avons glissé dans le toboggan naturel que fait la marée, là où la rivière se jette dans la mer de Tasmanie. Nous avons été bercés et réveillés par le chants et amusants cris des cacatoès, des corbeaux, et des rosellas. Un oiseau-lyre a imité la sonnerie de la montre de Sixtine lorsque celle-ci a sonné sous son arbre !

 

Nous avons privilégié les campings sur la côte aux dépens des parcs nationaux que nous comptions initialement fréquenter car la vague d’incendies a touché beaucoup d’entre eux et les conditions météorologiques de ces derniers jours (fortes chaleurs + beaucoup de vent) ont conduit les responsables à en interdire l’accès par précaution.
Et c’est vrai qu’en passant devant les pompiers occupés à éteindre les multiples foyers le long de la Princes Highway avant Jervis Bay et en voyant la liste des incendies recensés dans les bureaux d’information, nous nous sommes dits que nous étions sans doute mieux près de l’eau…

 

A deux pas de Sydney, nous avons tout de même tenté notre chance dans le Royal National Park ou nous avons pu dormir dans le camping de Bundeena, mais ou nous n'avons pas pu faire de randonnées.

 

Encore un endroit où il faudra qu'on revienne !

 

Le métier du jour : 

guide de parcs nationaux.

 

Nos meilleurs voeux pour 2013 !

Bonjour !

 

Nous vous adressons à l’occasion du Nouvel An, et avec nos vœux pour cette année toute neuve, un bouquet de merveilles glanées au cours de notre voyage pour éclairer vos journées pluvieuses, réchauffer vos matins frileux, rafraîchir vos front brûlants, enrichir vos rêves, donner corps à des projets, partager avec vous de jolis souvenirs, inspirer vos histoires, distraire vos trajets, ajouter des couleurs à vos arc-en-ciel …

 

En voici en vrac un extrait :

La petite église devant le lac turquoise de Tekapo en NZ,

Une rangée de moaï au coucher du soleil sur l’Ile de Pâques,

Des fous-rires et des frissons lors de promenades nocturnes avec les copains à la recherche de wongbats,

Un pushing dans une étendue immense en Argentine,

Des coquillages brillant sur la plage de Huahine au clair de lune,

Le Macchu Pichu sortant des nuages,

La joie de recevoir des messages des amis et famille,

Un oiseau grisé d’air et de liberté au-dessus des chutes d’Iguazu,

Les petits messages dans le carnet des filles, souvenirs de nos rencontres,

Les scoutes de Tahiti interprétant une danse hawaïenne pour une veillée,

Les 3 filles chantant à tue-tête dans le camping-car,

Les pingouins dans leurs nids qui nous regardent les regarder,

Les opposums qui grimpent aux arbres dans le parc de Melbourne,

La mère kangourou sautant avec son bébé dans la poche,

Les jeux de société avec les copines de Tahiti,

Les grosses vagues éclatant sur les rochers de l’Ile de Pâques,

Le bateau-hôtel avec sa jolie plage à Tahiti,

La belle vue de la terrasse de l’hôtel de Cuzco,

Les îles artificielles du lac Titicaca,

Les jets massants du jaccuzi de la maison de Daylesford,

Les rires des enfants courant sur la plage,

Le phare de Cap Hot Way enfin atteint après 2 heures de marche dans une autre direction,

Les bulles du champagne de la Nouvelle Année, pour vous souhaiter une année 2013 haute en couleurs !

 

En attendant de fabriquer ensemble de nouveaux souvenirs, nous vous envoyons nos affectueuses pensées depuis Melbourne, en partance pour Sydney.

 

Laurent, Béatrice, Arc'hantael, Sixtine et Eugénie

Les joies du camping

Après la découverte du camping-car en Nouvelle-Zélande, nous voici en phase d’exploration des campings en Australie. On pourrait croire comme ça, à première vue, que les vacances en camping sont synonymes d’inconfort, d’installation sommaire, et de budget serré. Erreur ! Les Australiens semblent avoir élevé le camping au rang d’un art et parmi ces artistes, il est courant de trouver des propriétaires de plusieurs Porshe Cayenne, une pour la caravane, l’autre pour le bateau, la troisième pour la remorque…. (Peut-être que c’est pareil en France, mais on connaît mal le sujet).

Lorsque nous arrivons dans un camping, nous nous promenons dans les allées et admirons, comme dans un salon du camping, les équipements et les trouvailles quasi architecturales des occupants ou des vendeurs de matériel de camping qui rivalisent d'ingéniosité :
Les chambres latérales sur les camper-vans ; les tentes spéciales jeux d’enfants, les parquets de véranda, les douches (dans les parcs nationaux non équipés), les panneaux solaires…

 

Mais ce qui est vraiment chouette dans les campings, c’est la solidarité inter-campeurs. Sitôt arrivés, sitôt aidés. Un voisin nous aide à tenir les arceaux, l’autre va nous chercher un maillet, le troisième nous prête son matériel à barbecue, un autre nous donne du journal pour allumer le feu dans les parcs nationaux (ah ! c'était donc lui, les incendies de ces derniers jours !)…
Laurent a fini par admettre que ça n’était pas (que) de la pitié en voyant un homme se débattre avec une grande tente à monter, alors que les représentantes féminines filaient découvrir les environs, et que les Australiens sont vraiment accueillants.

En tout cas, l’endroit le plus convivial est décidément la laverie. La laverie est au camping ce que la machine à café est au bureau. D’abord, il y a toujours des petits services à rendre : d’aucun a oublié sa lessive, un autre a besoin de monnaie pour la machine, une troisième a besoin de réconfort en découvrant toute sa lingerie blanche devenue rouge avec un nouveau T-Shirt… (moins courant à la machine à café d’après mes observations). Ensuite, il y a l’opportunité donnée de papoter tandis qu’on attend la fin d’une machine.

C’est ainsi que nous avons récupéré un papier passionnant sur l’Indonésie d’une Australienne qui en revenait. Je garde aussi un très bon souvenir de la ½ heure de discussion avec la dame d’à côté, alors que nous re-lavions à la main tout notre linge qui était ressorti noir de la machine. (L’explication se trouvait dans la rangée de pantalons de chantiers noirs de boue insolemment étendus à côté).

Nous avons également eu une discussion très intéressante avec une guide de Buchan : « Oh, vous êtes Français ? Ma fille est partie en France pour les vacances de Noël » « Ah, et alors, ça lui a plu ? » « Eh bien… Elle a beaucoup aimé la Suisse ». Après avoir creusé, il semble que l’accueil des français ait été plus que glacial…En venant d’Australie, forcément, ça doit faire un choc. En même temps, elle n’a pas dû aller où il fallait à Paris :
...à la machine à café bien sûr !

 

 

Le métier du jour : Ambassadeur de France (dans les laveries des campings)

 

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé…

 

Alors quand c’est toute une tribu de copains que l’on quitte après 15 jours de partages et de franches rigolades, le départ, même vers des forêts grandioses et des plages infinies, a un goût de mélancolie fourrée cafard (l’émotion pas l’insecte, quoique …les « bugs » sont présents aussi en Australie).


Nous avons l’habitude maintenant de ces au-revoir, après le « grand départ » il y a déjà 4 mois, suivi par ces multiples adieux aux personnes avec lesquelles nous avons partagé de quelques minutes à quelques jours (voire quelques semainesJ) et que nous ne reverrons pour la plupart jamais.
Là, c’est loin d’être le cas, les au-revoir auraient dû être faciles. Et pourtant, le départ de Melbourne vers une nouvelle aventure à 5 a été le plus long de notre voyage ! Et voilà qu’il faut que nous laissions des bagages chez Clément et Marion, et qu’il nous faut regarder notre messagerie, et qu’il faut que nous fassions quelques courses avant de partir et qu’il nous faut changer de voiture de loc et que  « ah ben ça alors, c’est maintenant l’heure du déjeuner, on peut pique-niquer avec vous avant de partir ? »

 

Allez, quelques chansons à entonner tous en chœur dans la voiture pour se changer les idées. « Pars, surtout ne te retourne pas » de Jacques Higelin ? « Puisque tu pars » de JJ Goldman ? « Qui peut faire de la voile sans vent/ qui peut ramer sans rame / et qui peut quitter ses amis sans verser de larme » ? Euh, bof, mauvaise idée. Un CD ? Oui, justement Marion et Clément nous en ont prêtés quelques-uns. Idéaux juste avant d’aller se pendre en fait (bon, OK, on n’était pas forcément très objectif, il faudra qu’on réécoute maintenant qu’on est d’humeur plus joyeuse).

En outre, arrivés à notre premier campement (beaucoup plus près de Melbourne qu’envisagé initialement, quand on pensait décoller à 11h…), les panneaux « koalas » qui nous laissaient espérer de recroiser ces petites bêtes « qui sont trop mignonnes », avaient oublié de préciser que les koalas n’étaient pas rentrés de leur lieu de villégiature à Noël, à savoir Cape Otway, où nous les avions vus en grand nombre (avec les copains, bououhouh !)

Pour résumer, il nous a fallu une bonne nuit de sommeil pour voir les choses comme elles étaient : OK, on avait les copains en moins et des poux à la place, un petit décalage dans les devoirs du CNED et un retard titanesque dans l’alimentation du site, aucune chance de croiser une connexion internet à moins d’aller dans un Mac Do d’une ville assez grande –pas du tout dans notre itinéraire ni dans nos envies-, des couchages nettement moins confortables que les lits des maisons de vacance (si, Joëlle, pas la peine de nier), et une alerte canicule pour les jours suivants, mais …

…découvrir l’Australie en famille, traverser et dormir dans des endroits sauvages et splendides, être accueillis partout chaleureusement par les Australiens, voir des animaux exotiques en liberté, pouvoir se réfugier sur la côte près de superbes plages en cas de trop fortes chaleurs, travailler en plein air et avoir pour récréation des randonnées dans la forêt ou un plongeon dans une piscine…c’est quand même pas le goulag !

Et nous envoyons toutes nos affectueuses pensées à celles et ceux qui ont de vraies tristesses au fond du coeur.

 

Cape Otway ou le coin des koalas

Rapport d'espionnage

On a vu de petits espions cachés derrière les fourrés de Daylesford pendant ces vacances...

 

Rapport d’espionnage du 23 au 28/12 : activités des parents dans la maison de Daylesford – La journée

Fred fait la cuisine –STOP -

Sabine fait l’éducation religieuse des enfants avec Pomme d’Api Soleil –STOP -

Papa fabrique une crèche –STOP -

Clément et Marion parlent de l’Australie –STOP -

Marion, Ariane, Joëlle et Maman font du yoga avec Sabine en (kan)gourou –STOP -

Ariane conseille de bonnes séries américaines –STOP -

Joëlle peint à l’aquarelle –STOP -

Samuel apprend à son père à jouer au ballon –STOP -

Baubak lit –STOP -

Marion et Joëlle décorent la maison –STOP -

Fred part faire les courses –STOP -

Sabine et Maman chantent à tue-tête leurs vieilles chansons de Caravelles –STOP -

Baubak débouche des bouteilles –STOP -

Papa photographie un brin d’herbe –STOP -

Ariane ne dort pas trois nuits d’affilée et reste de bonne humeur (il faudra qu’elle apprenne à Maman à faire ça) –STOP -

Joëlle coupe les cheveux de Papa –STOP -

Chambres très mal rangées –STOP -

Les parents et les petits s’agitent sur Nino Ferrer et Luis Mariano –STOP -

Fred cuisine –STOP -

 

La nuit :

Les parents regardent dans l’obscurité Joëlle qui marche dans le jardin et commentent très sérieusement l’avancée de cet étonnant kangourou roux à la démarche fluide – –STOP -

Les parents barbotent dans le jacuzzi –STOP -

Baubak et Papa regardent le Seigneur des Anneaux –STOP -

Le Père Noël passe avec ses rennes déposer plein de cadeaux au pied de l’arbre de Noël –STOP -

Les parents font une promenade dans les bois. Sabine et Maman font fuir tous les animaux en criant parce qu’elles ont peur ou en riant comme des baleines parce qu’elles ont réussi à faire peur à quelqu’un d’autre. Marion dissèque les crottes d’animaux. Clément réussit à effrayer 3 filles d’un coup. –STOP -

 

Le métier du jour : espion

Ballarat

Repas de Noël à Daylesford

Préparez les ingrédients quelques jours à l’avance si possible, faites dégorger de la fatigue, de petits rhumes et du décalage horaire, et laissez reposer à température ambiante. Brisez la glace à l’aide de deux ou trois soirées, puis mettez au vert l’ensemble des participants.

Secouez bien en rythme sur l’album de Nino Ferrer , de Luis Mariano ou de chants religieux en canon.

Ajoutez un à un les « joeys » (petits marsupiaux), mixez jusqu’à l’obtention d’une bande joyeuse et bigarrée et laissez les gambader en liberté.

 

Faites pré-chauffer l’ensemble des participants à 39°C dans le jacuzzi, séchez soigneusement au soleil. Assouplissez les femmes avec du yoga et de la sophro, faites mariner les hommes dans de la bière locale.

Ajoutez sur place les derniers arrivés et les produis locaux : kangouroux (bruns ou roux), cacatoes, ….

 

Décorez de boules de Noël et de papiers multicolores, de dessins et de branchages. Comblez de cadeaux et libérez les talents.

Saupoudrez d’arômes et d’épices : esprit, humour, enthousiasme, délicatesse, service, joie, générosité, plaisir, créativité, modestie,….

Ajoutez le fromage au lait cru de contrebande, arrosez de vins de différents pays et cépages, accompagnez le café de douceurs chocolatées et servez en continu pendant 5 jours.

 

La semaine prochaine, nous verrons la recette du Nouvel An dans le bush, à réussir entre amis.

 

 

Le métier du jour : chef cuisinier

Melbourne, une grosse flemme

Melbourne le 22 décembre. Les filles travaillent sur les ordinateurs . Donc pas moyen d’accéder au site. J’en suis réduite à griffonner mes posts sur d’infâmes bouts de papier qui finiront au mieux en marque-page des brochures d’information, encore déchiffrables pour une retranscription ultérieure, mais plus sûrement en boule au fond du sac, l’encre noyée par les gouttes d’une gourde mal fermée.

Bon, à vrai dire, la situation n’est pas si grave : installée sur une chaise longue sur la terrasse de l’auberge YHA Metro, enduite de crème parfumée pour résister aux UV d’un soleil qui retient encore ses rayons (la canicule n’est attendue que demain), je me tiens à la disposition de Sixtine pour le cas peu plausible où elle aurait besoin de mon aide pour ses devoirs, et le cas encore plus improbable où Laurent, qui adore la géométrie, ne se serait pas déjà précipité.

Notre programme du jour est encore à déterminer. Une seule certitude, il nous faudra faire un peu de shopping ne serait-ce que pour confier à Sabine et Baubak les cadeaux à rapporter. Rien que d’y penser, une grande flemme m’envahit…
Pour demain, la voiture de ces dames est avancée ( Laurent est allé la chercher ce matin avec Marion et Sabine), il ne nous reste plus qu’à boucler les sacs pour partir dans la maison que Clément et Marion ont réservée à Daylesford et à compter les cadeaux pour vérifier que le Père Noël n’oublie personne. Quand même, depuis 3 pays à préparer les cadeaux, ce serait un comble qu’il en manque, me dis-je pour justifier mon envie de rester là à ne rien faire…

Melbourne nous fait grande impression. Hier, le flot joyeux des Melbournais devant les vitrines de Noël ; les musiciens de rue mêlant leurs accords à la petite musique des passages piétons, les tramways multicolores filant dans les rues décorées comme dans un décor playmobile, les maisons victoriennes, la crêperie bretonne ambulante, le musée à l’architecture déstructurée, le grand sapin de Noël devant l’église Saint Paul…

Aujourd’hui, vue d’en-haut la ville avec ses grandes tours qui s’élèvent dans le ciel bleu, comme une «Défense » de côte d’azur, les vélos, voitures, calèches et trams qui se disputent la chaussée, les piétons estivaux affairés aux derniers achats de Noël (je ferais bien d’en faire autant, au lieu de prendre prétexte d’une leçon de math déjà maîtrisée pour traîner au soleil…), les bâtiments en brique rouge, les parcs,…

 

Bon allez, il est temps de rejoindre la fourmilière des cuistots dans l’enfer des fourneaux du rez de chaussée puis d’alimenter la cohorte des fiévreux acheteurs de veilles de Noël…Allez au moins, un peu de courage pour acheter du papier cadeau ?

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Comme pressenti, la flemme à l’idée de courir les magasins aura été la plus forte , nous sommes plutôt allés nous promener dans un des superbes parcs de la ville. Et qu’importe, tout ce qu’on risque à utiliser un sac en papier kraft comme papier cadeau, c’est de voir jeter un pendentif avant qu’il ait été offert…Mais ce qui compte à Noël, c’est la naissance de Jésus, plus que les cadeaux, non ? ;-)

 

 

 

Voici les prévisions de la semaine de notre situation actuelle

Bangkok Thailande

Météo Bangkok © meteocity.com

Et celle de notre prochaine destination.

Colombes - FRANCE

Météo Paris © meteocity.com